Passée par la mode, Sophie Estève dévoile sa première exposition personnelle à la Galerie 14.1. Entre natures mortes provençales et fragments de mémoire, une peinture du sensible, à découvrir du 24 au 27 avril.
Après avoir dessiné imprimés et broderies pour les maisons Carven, Nina Ricci ou Patou, Sophie Estève revient à un geste plus intime : la peinture. Elle vit entre Paris et Lagarde-Paréol, un petit village du Vaucluse où elle capte, en touches délicates, ce qui reste d’un déjeuner, d’un paysage, d’un silence. Beurre entamé, pain coupé, radis, calanques — ses tableaux racontent une Provence tranquille entre quotidien et contemplation.