En mélangeant héritages personnels -grâce à sa grand-mère Giuseppina- et héritages historiques, entre influences normandes, arabes ou espagnoles, le chef nous raconte à la fois un patrimoine et un paysage culinaire.
Sur l’île, on dévore couscous, caponata, arancini et sfincioni. Entre les chapitres Terra et Mare, on découvre que la Sicile regorge de produits divers et variés, dévoilant ainsi pâtes aux fèves, poissons frits, courgettes, aubergines, ou encore pistaches et agrumes.
Expression d’une tradition autour d’un terroir singulier, c’est aussi la construction de parfums, ceux des herbes aromatiques, des huiles, des feuilles et de l’ail.
C’est l’histoire de cette cuisine simple, bonne et populaire, que l’on mange à la maison comme dans la rue qu’Ignazio Messina a choisi de raconter dans cet ouvrage et de transmettre dans ces deux restaurants.